Particulièrementappréciable toute l’année, la balade sur le Chemin de Cadoudal à Locoal sur la Commune de Locoal-Mendon, offre des paysages multiples et variés : balade en forêt, dans la pinède, balade sur le sentier côtier parmi les ajouts, avec même quelques jolies criques sans oublier toute la partie historique sur la chouannerie liée à ce chemin qui servait de refuge à la car le chemin för vägen Cela signifie aussi plus de droits de codécision pour le Parlement européen, car le chemin ne mène pas seulement de Rome à Amsterdam en passant par Maastricht, mais bien plus loin encore. Men det innebär en utökad medbestämmanderätt för Europaparlamentet, för vägen leder inte bara från Rom över Maastricht och vidare till Amsterdam, utan sträcker sig längre än så. On le voit peut-être de loin, là où on reste seul et bien volontiers, car le chemin on veut le voir, mais pas le prendre. Kanske ser man den på avstånd, där man förblir ensam, gärna dessutom, för vägen vill man se men inte gå. Autres exemples en contexte Vous pouvez partir à n'importe quel moment de l'année car le chemin de fer transsibérien fonctionne toute l'année. Du kan åka när som helst på året eftersom den Transsibiriska Järnvägen är igång året om. Je suis ici pour l'amour, pour la foi, car je désire, par ma bénédiction maternelle, vous donner espérance et force sur votre chemin, car le chemin qui mène à mon Fils n'est pas facile. Jag är här för kärlekens skull, för trons skull, för med min moderliga välsignelse önskar jag ge er hopp och styrka på er väg - för den väg som leder till min Son är inte lätt. Aide Jerry trouver Tom dans cette maison, vous contrôlez Jerry à marcher sur la route à l'aide de touches fléchées pour se déplacer, être prudent, car le chemin est trop petit, Jerry peut chuter. Hjälpa Jerry hitta Tom i det här huset, styr du Jerry att gå på vägen genom att använda pil för att flytta, vara försiktig eftersom vägen är för liten, Jerry kan släppa. Je ne puis parler de chemin de fer à grande vitesse en Irlande du Nord, et encore moins dans l'île d'Irlande, car le chemin de fer est, dans ce coin du monde, loin d'être rapide. Jag kan inte tala om höghastighetståg i Nordirland, för att inte tala om ön Irland, eftersom järnvägarna inte går med någon särskilt hög hastighet i denna särskilda del av världen. Pour ajouter des entrées à votre liste de vocabulaire, vous devez rejoindre la communauté Reverso. C’est simple et rapide Cest un musée très interactif. Il y a des expositions permanentes très classiques, comme celle sur l’origine des amérindiens, et des trucs super modernes comme l’histoire des jeux vidéos (où l’on peut tester toutes les anciennes consoles). Egalement une très belle expo sur le Paris du 19ème, tout en musique.

Imaginez que vous êtes perdu au fin fond des bois, ou en haut de la montagne, ou dans un grand trou noir. Pas question de manger n’importe quoi. En pleine nature comme en société, ne mâchons pas les yeux fermés ! Voici un petit guide pour vous aider à bien vous nourrir en cas de situation de survie. Nul ne sait d’où partira l’Apocalypse. Certains annoncent une crise écologique ou économique majeure, une pénurie d’énergie, d’autres voient venir une pandémie dramatique, un hiver nucléaire ou un cataclysme mondial, tandis que les esprits créatifs imaginent déjà une invasion de zombies ! Toujours est-il que dans ce genre de scénario, vous pourrez dire adieu aux supermarchés et leurs rayons bien remplis, mais pire que ça, l’agriculture se sera effondrée et même la Ruche qui dit Oui ! ne pourra plus vous fournir en bons produits ! Au milieu du chaos, il vous faudra apprendre à survivre en ne comptant que sur vous-même et ce que prodiguera la nature. Livré à vous-même dans la nature, la peur de manquer peut devenir une angoisse terrible, mais cette angoisse tient parfois à des mythes peu fondés. En effet, l’être humain est capable d’ingurgiter beaucoup de choses, beaucoup plus qu’on ne le croit. Nous sommes largement conditionnés par notre alimentation civilisée, normée et calibrée à l’extrême, mais n’oublions pas que nos ancêtres pas si lointains mangeaient fréquemment des choses qui aujourd’hui n’entreraient même plus dans la catégorie aliment varech, bulbes de fleurs, orties, chats, sciures de bois ou cuir… © Éric Van den Broek L’être humain n’est pas fait pour ingurgiter de la nourriture matin, midi et soir. Il peut passer sans problème plusieurs jours sans manger et même plusieurs semaines. Dans les émissions télé autour de la survie, les candidats semblent toujours obnubilés par la faim et se jettent sur les mets les plus répugnants à la première occasion. Ne les imitez pas, et ne paniquez pas parce que vous manquez de nourriture ! L’accès à l’eau potable est nettement prioritaire. Observez bien votre environnement. L’observation est l’une des clés essentielles pour tout bon survivant. La nature est assez abondante mais il faut beaucoup de connaissances pour savoir en tirer profit. L’ignorance tue plus que la rareté. Apprenez dès aujourd’hui à reconnaître les plantes et à maîtriser quelques bonnes pratiques. Prenez l’habitude de renifler, toucher, goûter en petites quantités ce que vous ne connaissez pas et recrachez au moindre doute. Au pied de mon arbre… Une fois que vous avez trouvé un point d’eau potable, il est temps de se mettre en quête de nourriture. Inutile pour le moment de vous confectionner une sagaie et d’aller traquer le mammouth ! Mieux vaut vous dégotter un coin de forêt riche en chênes, en châtaigniers ou en hêtres, trois arbres très abondants en France et qui vous apporteront une alimentation riche, facile à conserver, à transformer sans être désagréable au goût. Les glands et les châtaignes ont occupé très longtemps une place essentielle à la survie de régions entières, en Corse, en Kabylie, en Espagne, au Portugal et ailleurs. Une douzaine de châtaigniers pouvait faire vivre une famille entière ! Avec le gland du chêne, on obtient une farine très nourrissante qui peut servir de base pour une alimentation de survie. Pour le cuisiner, il faut le passer dans l’eau bouillante en changeant l’eau régulièrement, puis le laisser sécher et le réduire en poudre. L’eau bouillie dans laquelle on a cuit les glands prend une teinte sombre ; c’est le tanin amer qui s’échappe. Avec cette eau, on obtient un café » un peu râpeux mais qui rappellera aux nostalgiques post-apocalyptiques ce bon vieux temps des pauses entre collègues à la cafét’ de l’entresol… © Éric Van den Broek Les châtaignes sont des fruits tout aussi riches et plus familiers. En période de famine, elles sont toujours venues en aide aux hommes et seront pour vous une valeur sûre presque indispensable. Si vous avez la chance de tomber sur une forêt riche en châtaignes, restez dans les parages car vos chances de survie ont considérablement augmenté… Les faînes sont les fruits du hêtre et ont un goût à mi-chemin entre la châtaigne et la noisette. Ils se préparent en farine comme les glands ou cuits comme les châtaignes. Ils sont composés à 45 % de matière grasse ce qui est très appréciable quand il s’agit de passer l’hiver ou fabriquer un beurre de substitution. Ruez-vous enfin sur les noyers, les noisetiers, les amandiers… Les fruits à coque sont incontournables en situation de survie… Muesli nature Les graines et céréales sont des concentrés de l’énergie d’une plante. C’est là où se trouvent les éléments les plus riches et les plus nutritifs. C’est pour cela que les céréales sont à la base de presque tous les régimes alimentaires à travers le monde. Tous les graminées font des graines comestibles ; riz, blé, maïs, seigle, avoine, orge, épeautre, engrain, bambous… Une vaste famille aisément reconnaissable qui vous rendra de fiers services. Les graines, c’est deux aliments en un !Mais il est possible de manger les graines d’autres plantes à céréales ; chénopodes, amarantes ou sarrasin… Ces semences ont un autre avantage de taille une excellente capacité de conservation, mais en pratique, il est très laborieux de décortiquer chaque brin d’herbacée pour y récolter de toutes petites graines. C’est pourquoi vous ne pourrez sans doute pas miser seulement sur elles. Toutefois, un stock de graines en réserve pourrait être un atout important en période de vaches maigres. À noter qu’il est possible de faire facilement germer les graines et que celles-ci deviennent des aliments très différents en matière d’apports nutritionnels. Elles contiennent plus de vitamines, de minéraux, de protéines…. Les graines, c’est donc deux aliments en un ! Baies et fruits sauvages Il est difficile de délimiter là où commence le fruit sauvage et ou s’arrête le fruit cultivé. Ce qui est certain en revanche, c’est qu’en cas de fin brutale de l’agriculture, l’immense majorité de nos vergers cesserait pratiquement de produire en l’espace de quelques années. Sans les tailles, les traitements et les apports constants d’arboriculteurs, les variétés actuelles ne pourraient guère survivre et encore moins fructifier correctement. Mis à part les figuiers, les pruniers et les cerisiers qui s’en tirent honorablement sans entretien, il faut aller regarder du côté des espèces sauvages. Chez les arbres, citons le néflier, le cormier ou l’alisier blanc qui produisent des fruits comestibles et savoureux sans qu’on ne leur ait rien demandé. Les ronces poussent partout et font de délicieuses mûres en été. Dans les sous-bois, les fraises des bois sont assez communes et accessibles dès le printemps. D’autres baies sont très intéressantes car elles sont accessibles pendant la période difficile de l’hiver. C’est le cas des prunelles, des cenelles ou des poils-à-gratter qui se consomment après les premières gelées. Elles sont riches en vitamines et en sucres. © Éric Van den Broek Un peu d’eau fraîche et de verdure Les mauvaises herbes contre lesquelles vous vous acharniez lorsque le monde tenait encore débout vont devenir de précieuses alliées. La plupart d’entre elles sont non seulement comestibles mais également pleines de vertus, alors si vous ne tenez pas à manger les pissenlits par la racine, il est temps de les croquer par les feuilles ! Le pissenlit se consomme cru ou cuit et a des vertus diurétiques, comme le gaillet gratteron que l’on trouve en grande quantité dans les jardins, les sentiers et les lisières. Les orties sont riches en vitamines C, fer et magnésium. Elles se consomment cuites comme les épinards et ont un goût agréable. Leur piquant disparaît naturellement 2 jours après arrachage ou simplement en les passant quelques secondes dans l’eau bouillante. Le rumex se consomme cuit et a un goût acidulé proche de l’oseille, la bourrache se prépare en tisane et est riche en protéine et vitamine B12. Les plantains, très courants, sont riches en glucides. La gesse a un goût de petit pois, l’alliaire donnera un peu de piquant à vos plats et l’ail des ours est un délicieux condiment pour agrémenter vos menus sauvages… Ces plantes comestibles ne peuvent pas fournir un apport énergétique très important mais sont riches en vitamines et nutriments vitaux qui vous aideront à rester en bonne santé. Il ne faut pas sous-estimer non plus leurs capacités à parfumer et agrémenter vos menus. À noter que les jeunes pousses sont toujours plus tendres et meilleures que les autres. Dans une rivière ou le long d’un rivage, il est possible de pêcher avec un matériel de chasseur-pêcheur L’un des grands mythes du survivant est l’homme musclé et suant en train de dépecer un sanglier ou de chasser un cerf à mains nues dans le plus pur style Cro-Magnon. Pourtant, pour un novice, il est plus que probable que la chasse se solde par un échec complet coûteux en énergie et dangereux pour la santé. Même si par chance, vous parvenez à dégoter un chevreuil, serez-vous capable de le préparer et de le conserver dans de bonnes conditions ? À moins d’être chasseur expérimenté et équipé, mieux vaut ne pas s’engager sur cette voie. Avec un bon sens de l’observation et un peu d’habilité, vous pourrez sans doute tendre des pièges à lapins ou à lièvres et vous pourrez toujours vous rabattre sur les insectes mais le mieux question nourriture animale, c’est encore le poisson. Dans une rivière ou le long d’un rivage, il est possible de pêcher avec un matériel de fortune. Le poisson est généralement facile à cuisiner et riche et acides gras non saturés, lipides, protéines et vitamines B, A et D. Il est possible de le sécher ou le fumer pour le conserver plus longtemps. © Éric Van den Broek Champignons pas vraiment hallucinants Les champignons sont délicieux et disponibles assez facilement. Ils paraissent être de bons candidats pour les gastronomes de l’extrême, jusqu’au moment où l’on découvre leur valeur énergétique particulièrement faible. Certes, ils contiennent des vitamines B et des oligo-éléments mais étant donné leur potentielle toxicité et le fait qu’ils sont difficiles à digérer, l’enjeu n’en vaut pas vraiment la chandelle. Si vous maîtrisez correctement la reconnaissance des champignons, vous pourrez toujours en glaner quelques-uns sur votre passage pour agrémenter vos plats mais ne comptez pas sur eux pour couvrir vos besoins caloriques.

Il était une fois une petite fille de Village, la plus jolie qu’on eût su voir ; sa mère en était folle, et sa mère-grand plus folle encore. Cette bonne femme lui fit faire un petit chaperon rouge, qui lui seyait si bien, que partout on l’appelait le Petit Chaperon rouge. Un jour, sa mère, ayant cuit et fait des galettes, lui dit : « Va voir comme se porte ta mère-grand, car on m
Chemin de Saint-Guilhem-le-Désert D’Aubrac village au Col de Trébatut via Nasbinal. Troisième jour sur le chemin de St Guilhem le désert. Selfie du jour, bonjour. Voila ce qui est tombé cette nuit ! Gloup On est encore dans l’enceinte de notre gîte que déjà les conditions météorologiques font légèrement peur. Ce matin, nous avons rendez-vous à 8h30 avec Sylvain à Aubrac. Aubrac village ! Nous avions prévu de faire la variante des Rajas ensemble. Cette variante nous aurait menés au cœur de l’Aubrac, au milieu d’un grand rien minéral. Mais il neige depuis hier après-midi et il y a eu une tempête cette nuit, il y a donc plus de 40 cm de neige sur les sentiers. Nous faisons donc une réunion au sommet, car on vient de nous prévenir qu’il est impossible – car impraticable et imprudent – , de prendre le chemin vers les Rajas. Et à ce moment-là j’ai presque envie de pleurer, car j’ai souhaité faire le chemin de St Guilhem en partie pour cette portion , qui est la plus belle du sentier, et me fais rêver depuis que j’ai l’idée de faire cette randonnée et qui est justement la photo de couverture du topo guide. Mais marcher 24 km dans 40 cm de neige, sur un sentier non balisé et sans aucune visibilité, il faut bien se rendre à l’évidence, c’est impossibles ! Deux options s’offrent donc à nous soit nous rejoignons St Chély d’Aubrac à 8 km pour éventuellement tenter de trouver un taxi pour nous mener à notre destination du soir, mais rien de sûr et dans la direction complètement opposée à notre destination finale, soit rebrousser chemin vers Nasbinal puis prendre la direction du Col de Bonnecombe et enfin le Col de Trébatut pour l’Auberge du Radal, notre destination de ce soir. Nous optons pour le choix 2 en espérant trouver une voiture pour nous avancer un peu, car nous avons 30 km à faire aujourd’hui, tout cela dans la neige, le vent et le grésil qui nous fouette toujours autant le visage. Les parents de Sylvains déclarent forfait, et arrêtent là. Nous prenons donc la route à 3, le chasse-neige n’est pas encore passé. Nous croisons en route une voiture embourbée sur le bas côté. Sylvain s’arrête pour aider le gars, Isa et moi continuons. Peu de temps après, s’arrête à notre niveau un gros 4×4 avec Sylvain à l’intérieur oh joie. Le monsieur nous dépose à Nasbinal et nous souhaite bonne chance pour la suite ! Nous venons de gagner 5 km. Youhou! À Nasbinal, nous prenons donc la D52, qui vient tout juste d’être déneigée ouf et s’est partie pour 17 km de montée vers le col de Bonnecombe. Dans le vent et la bonne humeur 🙂 La route monte gentiment, mais nous avançons dans un brouillage complet, le vent et la neige nous fouettent le visage, nos ponchos souffrent tellement que quelques boutons pression se déchirent. Sylvain commence à souffrir énormément d’ampoule. Pour Isa et moi, ça va, nos pieds tiennent le choc. On devine à peine le chemin parcouru. 17 k avec l’impression de faire du surplace, c’est long ! Il fait tellement froid et humide qu’il nous est impossible de faire une pause pour grignoter un truc, je sors donc mon tube de lait concentré, que je bois petit à petit en route, cela me redonne des forces. Arrivés au col de Bonnecombe, nous trouvons une table à l’extérieur d’un petit resto fermé pour nous reposer 5 min. Sylvain n’en peut plus, il a vraiment très mal. Il décide d’appeler Mr Dauban le gérant de notre auberge du soir pour lui demander s’il pourrait venir nous chercher, il reste environ 4-5 km. Il est OK, et nous dit qu’il sera là dans 1/2 h. En l’attendant, nous en profitons pour manger nos sandwichs, mais il fait tellement froid avec toute cette humidité et ce vent qu’Isa et moi aurions préféré continuer à marcher, surtout qu’on se sentait d’attaque pour terminer ces 5 km. D’un coup, une superbe mercedes arrive ! Nous avons presque honte de grimper dedans tellement nous sommes sales ! Nous arrivons dans notre chambre surchauffée avec un grand plaisir, mais avant de penser à nous reposer nous avons notre lessive à faire, nous sommes sales des pieds à la tête ! Et à partir d’aujourd’hui, commence la course à faire sécher notre linge sur les radiateurs de nos chambres. Sympas comme décoration Une fois propre, direction sous la couette avec notre bouquin, on est rincées. C’est un peu étrange pour moi, car je suis en train de relire la gloire de mon père de Marcel Pagnol, les cigales chantent dans ma tette alors que mon corps grelotte de froid. Nous sommes les seuls pensionnaires ce soir, nous prenons une pression en apéro, je ne suis pas très bière en temps normal, mais là je l’apprécie. Puis le repas arrive potage, saucisse, légumes et pommes de terres avec des fèves et une salade de fruits en dessert avec le repas est compris un pichet de vin rouge. C’était très bon. Nous avons vraiment passé une très belle soirée, le gérant est venu nous rejoindre après le repas, nous avons parlé, entre autres, de randonnée, de l’Aubrac, du chemin de St Guilhem aussi. Nous faisons partie des premiers à l’emprunter, car il n’est balisé que depuis peu de temps. Demain, nous quittons l’Aubrac. Une chose est sure je reviendrai! Etape 3 Départ Aubrac Village 8H15 Arrivée Col de Trébatut 14h20 Le guide de la randonnée Le chemin de Saint-Guilhem-le-Désert Lozère – Aveyron – Gard – Hérault Hébergement Col de Trébatut Auberge du Radal Col du Trébatu 48100 Les Salces
Enréalité, à part la gigantesque maquette de cheval en bois, dont la description nous intriguait et en haut de laquelle on peut monter, et la promenade « bucolique » (selon les termes d’une dame anglaise rencontrée en chemin) que représente effectivement la visite,
Manger ou être mangé, de Michael Köhlmeier - ExtraitPublished on Dec 12, 2016Parution le 16 février 2017 Manger ou être mangé, fable loufoque et cruelle, nar... Le Tripode
Lesentier de la Vierge est le plus facile et offre cependant une vision des plus belles curiosités du bois. Le sentier de la Corniche mérite bien son nom et présente quelques dangers – à-pics impressionnants – et celui de l’Ermitage est le plus long. Pour accéder au cœur du bois de Païolive, prendre la D252. De nombreux parkings d
Voir Chemin Du Long Bois, Caen, sur le plan Itinéraires vers Chemin Du Long Bois à Caen en empruntant les transports en commun Les lignes de transport suivantes ont des itinéraires qui passent près de Chemin Du Long Bois Comment se rendre à Chemin Du Long Bois en Bus? Cliquez sur la ligne de Bus pour connaitre les directions étape par étape avec des plans, heures d’arrivée et horaires mis à jour De Pirs, Caen 129 min De Lecoeur Daniel, Caen 141 min De Blondeau Pierre, Caen 76 min De Gervais Lauren, Caen 133 min De Lambert Francois Jean Didier, Caen 76 min De Tel and Com, Caen 141 min De Caen Lisbonne, Caen 129 min De La Bougainvillée, Caen 72 min De Sarl Caen 75 min De Lohrer Alain, Caen 74 min Comment se rendre à Chemin Du Long Bois en Train? Cliquez sur la ligne de Train pour connaitre les directions étape par étape avec des plans, heures d’arrivée et horaires mis à jour De Pirs, Caen 89 min De Lecoeur Daniel, Caen 85 min De Blondeau Pierre, Caen 62 min De Gervais Lauren, Caen 88 min De Lambert Francois Jean Didier, Caen 63 min De Tel and Com, Caen 96 min De Caen Lisbonne, Caen 89 min De La Bougainvillée, Caen 64 min De Sarl Caen 63 min De Lohrer Alain, Caen 62 min Stations de Bus proches de Chemin Du Long Bois à Caen Nom de la station Distance Baron Sur Odon École 5 min de marche VOIR Stations de Train proches de Chemin Du Long Bois à Caen Nom de la station Distance Tourville-Sur-Odon-Chemin Foulon 20 min de marche VOIR Lignes de bus Bus vers Chemin Du Long Bois à Caen Nom de la ligne Direction LIGNE 9 Bougy Par Verson VOIR Questions & Réponses Quelles sont les stations les plus proches pour aller à Chemin Du Long Bois ? Les stations les plus proches de Chemin Du Long Bois sont Baron Sur Odon École est à 336 mètres soit 5 min de marche. Tourville-Sur-Odon-Chemin Foulon est à 1580 mètres soit 20 min de marche. Plus de détails Quelles sont les lignes de Bus qui s'arrêtent près de Chemin Du Long Bois? Ces lignes de Bus s'arrêtent près de Chemin Du Long Bois LIGNE 9. Plus de détails Quelles sont les lignes de Train qui s'arrêtent près de Chemin Du Long Bois? Ces lignes de Train s'arrêtent près de Chemin Du Long Bois 32. Plus de détails À quelle heure est le premier Train à Chemin Du Long Bois à Caen ? Le 32 est le premier Train qui va à Chemin Du Long Bois à Caen. Il s'arrête à proximité à 0710. Plus de détails Quelle est l'heure du dernier Train à Chemin Du Long Bois à Caen ? Le 32 est le dernier Train qui va à Chemin Du Long Bois à Caen. Il s'arrête à proximité à 2015. Plus de détails À quelle heure est le premier Bus à Chemin Du Long Bois à Caen ? Le LIGNE 9 est le premier Bus qui va à Chemin Du Long Bois à Caen. Il s'arrête à proximité à 0652. Plus de détails Quelle est l'heure du dernier Bus à Chemin Du Long Bois à Caen ? Le LIGNE 9 est le dernier Bus qui va à Chemin Du Long Bois à Caen. Il s'arrête à proximité à 1919. Plus de détails Voir Chemin Du Long Bois, Caen, sur le plan Transports en commun vers Chemin Du Long Bois à Caen Comment aller à Chemin Du Long Bois à Caen, France? Simplifiez-vous la vie avec Moovit. Tapez votre adresse et le planificateur de trajet de Moovit vous trouvera l'itinéraire le plus rapide pour vous y rendre! Vous n'êtes pas sûre où descendre dans la rue? Téléchargez l'application Moovit afin d'obtenir les itinéraires en direct y compris où descendre à Chemin Du Long Bois, voir les horaires et obtenez les heures d'arrivée estimées de vos lignes de Train ou Bus préférées. Vous cherchez l'arrêt ou la station la plus proche de Chemin Du Long Bois? Consultez cette liste des arrêts les plus proches disponibles pour votre destination Baron Sur Odon École; Tourville-Sur-Odon-Chemin Foulon. Vous pouvez également vous rendre à Chemin Du Long Bois par Train ou Bus. Ce sont les lignes et les trajets qui ont des arrêts à proximité - Bus LIGNE 9 Train 32 Téléchargez l'application Moovit pour voir les horaires et itinéraires de transports disponibles à Caen. Il n'y a pas besoin de télécharger une application spécifiquement pour les bus ou spécifiquement pour les trains; puisque Moovit regroupe toutes ces informations dans une seule et même application qui vous aide à vous déplacer où vous le souhaitez. Nous rendons le trajet en transports en commun vers Chemin Du Long Bois beaucoup plus facile; c'est pourquoi plus de 930 millions d'utilisateurs, y compris les utilisateurs de Caen, ont choisi Moovit comme la meilleure application de transports. Chemin Du Long Bois, Caen Lignes de transport en commun dont les stations sont les plus proches de Chemin Du Long Bois à Caen Lignes de Train ayant des stations proches de Chemin Du Long Bois à Caen Lignes de Bus ayant des stations proches de Chemin Du Long Bois à Caen Dernière mise à jour le 17 août 2022
Parun panneau en bois décoloré on déduit que l'endroit est utilisé pour produire des cosmétiques et des soins corporels naturels. Nous avons poursuivi sur environ 150 mètres, puis nous avons profité de quelques troncs d'arbres coupés et posés les uns sur les autres au bord du chemin pour manger notre pique-nique. À vol d'oiseau, nous étions à plus ou moins 300
Le chemin de fer libanais, soit 403 kilomètres de voies ferrées ou ce qui en reste, a célébré la semaine dernière son 124e anniversaire. Il a été inauguré le 3 août 1895 par un trajet Damas-Beyrouth, suivi le lendemain par le trajet inverse. Nous nous basons sur nos archives pour connaître les dates, la durée des trajets, les stations desservies… » souligne dans un entretien à L’Orient-Le Jour Carlos Naffah, président de l’association Train-train Liban, qui tente de faire revivre les trains au pays du Cèdre. Pour marquer l’anniversaire du chemin de fer, Train-train Liban a organisé un week-end festif, avec un concert et une exposition de photos signées Eddy Choueiri et de peintures de Tom Young samedi dernier à la forgerie de Rayak, suivis d’une visite le lendemain de la gare sur la vieille ligne Mar Mikhaël-Rayak. Pendant deux jours, l’événement de Train-train Liban a rassemblé 700 regroupe une soixantaine de personnes qui militent pour préserver le patrimoine ferroviaire libanais et pour remettre en marche les trains. Le train est un outil démocratique, économique et social pour faire revivre le Liban. Économique parce qu’il permettra aux entreprises, notamment aux usines, de transporter leurs marchandises, social parce qu’il donnera l’occasion aux Libanais de découvrir à moindres frais leur pays et de rencontrer leurs compatriotes d’autres communautés et d’autres régions, et démocratique parce qu’il est accessible à tous », explique Carlos Naffah. Ce n’est pas la première fois que l’ONG, fondée en 2005, organise des visites guidées des vieilles gares libanaises et de la fonderie de Rayak. C’est le train qui avait fait la prospérité de Rayak, ville qui abritait la plus grande forgerie et les plus importants ateliers relevant du chemin de fer. La station de Mar Mikhaël, qui abrite actuellement la direction des chemins de fer, constituait depuis la création de la ligne Beyrouth-Damas le point de départ du trajet qui allait de la côte, traversait les hautes montagnes du Mont-Liban pour arriver à si beaucoup l’oublient, le train, produit de la révolution industrielle, a avant tout été créé pour le transport des marchandises. Et c’est principalement pour le transport des marchandises qu’il a été mis en place au Liban. Sous l’Empire ottoman, il fallait relier Damas à la côte et c’est Beyrouth avec son port tout neuf qui bénéficie d’un projet exécuté par les Français ; les Britanniques voulaient mettre en place un réseau ferroviaire entre Jaffa et Damas éclipsant complètement Beyrouth, ce qui n’a pas eu lieu. vidéo tirée de nos archivesLa première ligne mise en service en 1895 est construite donc sous – et pour le compte de – l’Empire ottoman dans le cadre d’une concession accordée en 1891 aux Français. Elle relie Beyrouth à Damas en passant par Rayak où une gare, une forge et d’immenses ateliers sont mis en place. C’est à partir de Baabda que des crémaillères conçues spécialement pour la montagne libanaise sont posées. Elles tirent le train jusqu’à Dahr el-Baïdar. Voie militaireÀ Dahr el-Baïdar, durant la saison hivernale, les locomotives étaient munies de chasse-neige pour que le trafic ne s’arrête pas à cause des intempéries en villages comme Sofar se construisent autour de la gare. La localité avec son hôtel et son casino, à quelques mètres de la gare, est un lieu d’estivage prisé dans toute la région, de la Palestine à l’Égypte. La ligne Beyrouth-Rayak-Damas, à voie étroite, mesure 147 kilomètres dont 77 kilomètres sur l’actuel territoire libanais. Le chemin de fer traverse donc le Mont-Liban et l’Anti-Liban. La traversée était complexe avec 32 kilomètres de sections à crémaillère. Au début du XXe siècle, la société française en charge des trains au Liban s’appelle la Société du chemin de fer Damas-Hama et prolongements DHP ». Les gares sont de construction française, les rails et le matériel des voix étroites sont belges et les locomotives à vapeur suisses. En 1902, une deuxième ligne est mise en service. Elle relie Rayak à Baalbeck et sera prolongée jusqu’à Homs quelques années plus tard.Pour mémoire Autour de sa vieille station de train, Tripoli ravive son patrimoineAprès Beyrouth, une voie ferrée commerciale est construite dans le port de Tripoli. À partir de juin 1911, le chemin de fer relie Tripoli à Homs, mais cette ligne ne dure pas longtemps. Durant la Première Guerre mondiale, les troupes de l’Empire ottoman arrachent les rails, pillent les gares et confisquent le matériel pour achever la ligne Damas-Bagdad, plus importante au niveau militaire. En 1942, une ligne côtière reliant Beyrouth à Tripoli, construite par les troupes australiennes présentes au Liban lors de la Seconde Guerre mondiale, voit le jour. Elle est utilisée pour le transport des soldats et du matériel militaire. Au cours de la même année, une autre ligne, reliant Beyrouth à Haifa, construite par les soldats néozélandais, et utilisée aux mêmes fins, est inaugurée. À la fin de la guerre, cette ligne est utilisée pour les transports commerciaux. Elle ne fonctionnera pas longtemps ; en 1948, peu après la création de l’État d’Israël, les tunnels à la fin de la ligne Tripoli-Naqoura sont dynamités. En 1961, le réseau ferroviaire et sa gestion relèvent désormais de l’État libanais. Le Liban connaît son âge d’or sur le plan de l’infrastructure et du tourisme de luxe. Les autoroutes remplacent le chemin de fer et la voiture se démocratise, le train décline petit à petit pour mourir en 1976, en pleine guerre civile. Aujourd’hui, il reste encore le long du chemin de fer de vieilles gares délabrées, des lieux fantômes qui plaisent aux amoureux du train et aux amoureux des espaces abandonnés au charme Namroud, le dernier conducteur de trainPat. K. À l’époque où Assaad Namroud a commencé à travailler à la Société du chemin de fer Damas-Hama et Prolongement DHP, Rayak était la ville du chemin de fer par excellence. C’est dans cette localité de la Békaa que l’on réparait tous les trains qui desservaient la région… jusqu’à Istanbul. Plus de 1 500 personnes travaillaient à la DHP de Rayak, des directeurs du chemins de fer, mais surtout des techniciens employés pour faire tourner la forgerie et les ateliers de Namroud, 92 ans, a commencé comme simple cheminot, tout comme son père. Puis, par ambition, il a décidé de présenter l’examen nécessaire pour devenir conducteur de train. Mon père m’a dit “Tu es trop jeune, peut-être tu seras recalé”. Mais comme je travaillais déjà à Rayak, je connaissais les trains comme le fond de ma poche et leur méthode de fonctionnement par cœur. C’était un ingénieur français qui m’avait fait passer l’examen un jour avant mon 24e anniversaire », se souvient-il. Se rappelant de ses années passées au travail, il confie, un brin de fierté dans la voix Mon train était le plus beau, j’en prenais soin, son cuivre brillait sous le soleil quand il entrait en gare. Tout le monde le remarquait quand j’arrivais. »Grâce à son travail, Assaad Namroud a pu construire une maison, se marier, acheter une voiture et élever six enfants. Le plus pénible, c’était le tunnel de Dahr el-Baïdar. Je n’oublierai jamais la sensation de chaleur qui m’envahissait. Il y avait le feu qui montait des rails et la vapeur chaude dégagée par la cheminée. Cela ne finissait pas », Namroud se souvient aussi comment il plongeait en apnée pour réparer ou nettoyer les réservoirs d’eau qui servaient, entre autres, à alimenter les trains à Rayak. Le jour où je plongeais dans un réservoir, j’avais droit à deux jours de congé parce que cela me fatiguait », affirme-t-il. Je me souviens aussi qu’en Syrie, il y avait très régulièrement des coups d’État. Souvent en arrivant ou en quittant Damas, j’avais peur parce que des soldats étaient déployés. Un jour, j’ai eu très peur en rentrant à Rayak et j’appréhendais mon retour à Damas. À quelques heures de mon départ pour la capitale syrienne, la direction a décidé de suspendre les voyages, le temps que la situation se calme. C’était quand Hosni el-Zaïm a accédé au pouvoir » par un coup d’État en mars 1949, se Namroud a été le dernier chauffeur à conduire le train de Beyrouth à Rayak en 1976. La guerre venait d’éclater, et il nous était de plus en plus difficile de circuler en train. Un soir, je suis rentré dans mon train à Rayak pour être informé que la direction suspendait le travail jusqu’à nouvel ordre », raconte-t-il. Quelques mois plus tard, l’immense atelier de Rayak a été occupé par l’armée syrienne et son train n’a plus jamais Abi Atmé habite dans la gare de JamhourPat. Abi Atmé, ancien chef d’atelier des chemins de fer, âgé de 96 ans, vit depuis les années quatre-vingt à la gare de Jamhour qu’il a transformée en maison pour lui et sa famille. D’ailleurs, c’est pour cette raison que les lieux ne sont pas tombés en ruine. Son salon constituait la salle d’attente et le guichet se trouvait dans la salle à manger. C’est entre les rails, non loin d’un réservoir qui servait à l’alimentation en eau des trains à vapeur, qu’il a mis en place un Abi Atmé est entré très jeune à la Société du chemin de fer Damas-Hama et Prolongement DHP. J’ai triché avec ma carte d’identité, j’avais 16 ans, j’ai dû donc ajouter deux années supplémentaires à mon âge. Je venais de perdre mon père qui était cheminot et qui est mort dans un accident alors qu’il effectuait des travaux sur la voie ferrée au niveau de Mdeirej. J’ai dit alors aux Français qui étaient en charge que je voulais prendre sa place pour nourrir la famille », Abi Atmé est fier d’avoir travaillé à la DHP. J’étais fasciné par les locomotives et les voies ferrées, la façon de travailler dans les ateliers, le fait de créer de nouvelles pièces… Le train au Liban, ce n’était pas du n’importe quoi », se souvient qu’en 1948, à la proclamation de l’État d’Israël, il a fait un aller-retour Beyrouth- Haifa pour récupérer du matériel juste avant que les tunnels sur la ligne Beyrouth-Naqoura-Haifa soient dynamités, et cela pour éviter tout trafic entre le Liban et général Charles de Gaulle ? Il l’a croisé au Liban. C’était durant la Seconde Guerre mondiale, il prenait avec d’autres officiers le chemin de fer alors que lui travaillait sur la voie ferrée. Dès que je l’ai vu, je l’ai reconnu et je lui ai dit “Bonjour mon général” », se mémoireL’association Train-Train Liban s’en remet au Conseil d’État Veneztester ce charmant circuit en ancien pays minier. Départ de la mairie pour un circuit de 12,5 km. Découvrez tout le long de ce chemin de randonnée. L’église St Pierre. Le château de la Roulière. L’étang de la Digue avec les cabanes. L’hôtel des Mines. Le Musée Centre Minier. La Chapelle des Mineurs. Le puits de la

23 Quand tu t’assieds pour manger avec un roi,fais bien attention à ce qui est devant toi ; 2 mets un couteau à ta gorge*si tu as beaucoup d’appétit*. 3 Ne convoite pas ses aliments savoureux,car c’est une nourriture trompeuse. 4 Ne t’épuise pas à acquérir des richesses+. Arrête et fais preuve d’intelligence*. 5 Quand tu portes le regard vers elles, elles ne sont plus là+,car vraiment elles se font des ailes comme celles d’un aigle et s’envolent dans le ciel+. 6 Ne mange pas la nourriture de l’avare* ;ne convoite pas ses aliments savoureux, 7 car il est comme quelqu’un qui tient un registre*. Mange et bois », te dit-​il, mais il ne le pense pas vraiment*. 8 Tu vomiras les bouchées que tu as mangées,et ce sera pour rien que tu lui auras fait des compliments. 9 Ne parle pas à l’oreille d’un stupide+,car il méprisera la sagesse de tes paroles+. 10 Ne déplace pas une borne d’autrefois+et n’empiète pas sur le champ d’un orphelin de père. 11 Car leur Défenseur* est fort ;c’est lui qui plaidera leur cause contre toi+. 12 Ouvre ton cœur à la discipline*et ton oreille aux paroles de la connaissance. 13 Ne te retiens pas de corriger un garçon*+. Si tu le frappes avec un bâton, il ne mourra pas. 14 Frappe-​le avec un bâtonpour le préserver de la Tombe*. 15 Mon fils, si ton cœur devient sage,mon cœur se réjouira+. 16 Je serai joyeux au plus profond de moi*quand tes lèvres exprimeront ce qui est droit. 17 Que ton cœur n’envie pas les pécheurs+,mais crains Jéhovah tout au long du jour+, 18 car ainsi tu auras un bel avenir+et ton espoir ne sera pas anéanti*. 19 Écoute, mon fils, et deviens sage,et dirige ton cœur vers le droit chemin. 20 Ne te trouve pas parmi ceux qui boivent trop de vin+,ni parmi ceux qui se goinfrent de viande+, 21 car les ivrognes et les gloutons tombent dans la pauvreté+,et la somnolence fait porter des haillons. 22 Écoute ton père, qui t’a donné la vie,et ne méprise pas ta mère simplement parce qu’elle a vieilli+. 23 Achète* la vérité et ne la vends jamais+ ;fais de même avec la sagesse, la discipline et l’intelligence+. 24 Assurément, le père d’un juste sera joyeux ;celui qui donne la vie à un fils sage se réjouira à son sujet. 25 Ton père et ta mère se réjouiront,celle qui t’a mis au monde sera joyeuse. 26 Mon fils, donne-​moi ton cœur,et que tes yeux se réjouissent de mes manières d’agir+. 27 Car la prostituée est une fosse profonde,la femme immorale* est un puits étroit+. 28 Elle se met en embuscade comme un brigand+ ;elle fait augmenter le nombre des hommes infidèles. 29 Pour qui le malheur ? Pour qui le malaise ? Pour qui les disputes ? Pour qui les plaintes ? Pour qui les blessures sans raison ? Pour qui les yeux gonflés* ? 30 Pour ceux qui s’attardent à boire du vin+ ;pour ceux qui recherchent* le vin mélangé. 31 Ne regarde pas la robe rouge du vinqui pétille dans la coupe, qui glisse dans la gorge, 32 car finalement il mord comme un serpent,il sécrète du poison comme une vipère. 33 Tes yeux verront des choses étranges,ton cœur exprimera des choses déplacées+. 34 Tu seras comme un homme couché en pleine mer,comme un homme couché au sommet du mât d’un bateau. 35 Tu diras On m’a frappé, mais je n’ai rien senti*. On m’a battu, mais je ne l’ai pas su. Quand me réveillerai-​je+ ? J’ai encore soif*... » Notes d'étude Documents multimédias

Situation Le réseau cyclable du Marais Poitevin - plus de 500km d’itinéraires jalonnés, dont plus de 50 km en site propre (voies vertes) - est développé depuis de nombreuses années dans ce milieu naturel à cheval sur trois départements : Deux-Sèvres (à l’Est), Charente-Maritime (à l’Ouest) et Vendée (au Nord).
D Départ de l'école de Clavières, suivre la route départementale en direction du Mont-Mouchet puis prendre un chemin à gauche sur 500 mètres. 1Suivre le sentier en direction de la Pinatelle toujours tout droit. Traverser la route et prendre le chemin forestier qui descend vers un ruisseau attention, dénivelé important. Traverser le ruisseau grâce à la passerelle en pierre et suivre le sentier en direction d'Estubertès. Traverser le village puis trouver l'école sur votre droite. 2 Suivre la route en direction de Machot. 3 Traverser le village, puis dans le tournant, prendre à gauche le chemin ascendant qui pénètre dans la forêt de Clavières. Au premier croisement, tourner à droite et suivre le chemin. 4 Laisser les deux chemins sur la gauche, au croisement prendre à gauche pour sortir de la forêt et redescendre sur le village de Clavières. Les Pauses buissonnières D La commune de Clavières avait, dans la première moitié du XXème siècle six écoles, dont une institution catholique, dans le bourg, appelée communément le "couvent" ! Aujourd'hui, toutes les écoles sont fermées. Le regroupement pédagogique intercommunal en place, a maintenu une école au village de Prat-Long, sur la commune voisine de Chaliers. L'une des survivances des pratiques communautaires de Clavières, c'est le congélateur commun. Ce bâtiment, situé dans le bourg, qui était l'ancien poulailler des soeurs de la Congégation de Saint-Joseph qui dispensaient l'enseignement dans l'école libre de Clavières, a été, dans les années 1960, aménagé pour abriter un immense congélateur. Celui-ci est divisé en compartiments pour chaque foyer du bourg. Ce congélateur est toujours utilisé par les habitants du village. 1 Arrêtez-vous un instant ! Ce chemin permet aux écoliers d'avoir une vue imprenable sur le massif volcanique des monts du Cantal, sur Saint-Flour et sa cathédrale et sur le plateau de l'Aubrac. Avez-vous repéré le viaduc de Garabit ? Jusque dans les années 1950, les chars à boeufs passaient par ici pour acheminer du bois jusqu'à la gare de Ruines ancienne orthographe ou à Saint-Flour. 2 Ca y est, on arrive ! Les élèves de Machot, du Drillet, de Masset, d'Estubertès s'assoient sur les bancs de cette école jusqu'en 1983. Elle a conservé sa cloche, son préau et ses latrines. Cette école est mentionnée pour la première fois en 1883 avec une institutrice nommée Jeanne Puech. Le parcours pour arriver jusqu'à Estubertès était parfois très difficile en hiver les adultes devaient passer devant les enfants pour "faire la trace" dans la neige, car même quand il faisait mauvais temps, on allait à l'école. 3 Dans les villages de Margeride, chaque maison, chaque famille porte un sobriquet que l'on se transmet de génération en génération. Ainsi, à Machot, vous êtes de "chez Barronde", "chez Paniou", "chez Nicoulas", "chez Guillen", "chez le Mounier" le meunier, "chez l'Estrie" l'étroit. L'orthographe est approximative car ces sobriquets sont diffusés oralement et leur sens s'est parfois perdu au fil des ans. Sur le chemin de Machot à Clavières, les écoliers pouvaient croiser dans les bois le facteur qui amenait le courrier dans les fermes isolées du massif de la Margeride, ils empruntaient également des tronçons des chemins du "Caté" qui rejoignaient l'église du bourg. 4 Le chemin des écoliers n'est pas toujours le même à l'aller et au retour, en hiver ou au printemps ; ainsi les enfants peuvent décider de passer par la route ou par les sous-bois. Ils passent devant "la crouzette", croix dont il ne reste plus que le socle en granite. La forêt qui occupe 55 % du territoire de Clavières est très riche dans sa diversité hêtre, bouleau, pin sylvestre, sapin pectiné, puis une nouvelle essence, l'épicéa qui est venu dans les années 1970 coloniser les 1 300 hectares du communal de Clavières - ancienne propriété du seigneur Balthazar de Talhac. Le saviez-vous ? La Résistance Clavières a payé un lourd tribu pendant la Seconde guerre mondiale. la proximité du maquis du Mont-Mouchet, l'un des plus importants de France, a entraîné de violents combats. De nombreux civils furent tués, son maire, ceint de son écharpe tricolore, partit au devant de la colonne allemande, pour essayer de parlementer afin de sauver son village. Il fut porté disparu et son corps n'a jaamis été retrouvé. Le bourg, avec son superbe château de la fin du XIXème siècle, et les hameaux environnants, furent incendiés. Soixante-quatre maquisards furent tués dans les environs de Clavières ; douze stèles, quatre monuments et un ossuaire rappellent aux passants les journées tragiques de ce mois de juin 1944.
Passezla barrière de la prairie, traversez-la et au bout, passez l'autre barrière. Par la trouée de la haie en face de vous, vue sur les ruines du château de Montaigle. Poursuivez le chemin à gauche. Passez devant l'entrée des ruines et continuez la route vers les maisons. ( 7) Avant les maisons, virez à gauche et montez le chemin
Lire l'histoire Hubert est un jeune mouton. Depuis qu’il n’est plus un petit agneau obligé de rester près de sa maman brebis, il adore gambader avec ses copains. Il sait que son papa bélier le surveille toujours et qu’il ne risque rien. En plus, pour l’instant, c’est encore le printemps. Alors tous les moutons sont rassemblés dans un grand pré clôturé, en bas duquel serpente un ruisseau. Ils ont aussi un abri en bois pour se reposer la nuit ou quand il pleut. Hubert et ses copains adorent faire la course. Ils doivent partir du ruisseau et courir jusqu’à l’abri. Le 1er arrivé gagne. Hubert a commencé son apprentissage de jeune mouton et il sait maintenant distinguer les plantes qui sont comestibles et celles qui sont dangereuses. Il adore la luzerne. Un jour, alors qu’il broutait tranquillement, il s’est même retrouvé nez à nez avec un lapin. Lui aussi adorait la luzerne, alors ils ont partagé. Hier, le berger est passé et, avec l’aide de son chien, les a tous rassemblés. Le berger les a comptés et a marqué ceux qui ne l’étaient pas encore. Hubert a maintenant une petite plaque jaune à l’oreille comme tous ceux du troupeau. Depuis sa visite, rien n’est plus comme avant. Les adultes ne parlent plus que d’une chose la transhumance. Hubert ne sait pas ce que c’est mais ça a l’air trop bien. Ce matin, Hubert et ses copains ont décidé d’en savoir plus ils vont rendre visite à Eugène, le bélier le plus âgé du troupeau. Eugène est très intimidant et n’hésite pas à gronder les agneaux lorsqu’ils jouent à la bagarre trop près de lui ou lorsqu’ils font trop de bruit. Certains le surnomment même Eugène le grincheux ». Mais Eugène peut parfois être aussi un merveilleux conteur. Hubert et ses copains préparent leur visite en cueillant des pissenlits. Chacun apporte un beau bouquet de feuilles bien tendres à Eugène. Celui-ci s’installe tranquillement pour déguster ce festin puis demande aux jeunes agneaux la raison de leur visite. Hubert, qui est de loin le plus curieux, s’empresse de répondre qu’ils veulent tout savoir sur la transhumance. Eugène est heureux de partager ce souvenir avec eux car la 1ère transhumance est un moment important pour un mouton. Il leurs raconte tout la sortie du pré, le long chemin qu’il faut parcourir jusqu’aux pâturages de montagne, les chiens qui vous pressent pour avancer toujours plus vite alors que vous avez envie de regarder partout autour, les routes qu’il faut traverser avec le bruit des voitures puis enfin l’arrivée et cette incroyable sensation de liberté. Il leurs parle des fleurs qui sont si belles et si délicieuses, du ruisseau qui serpente entre les rochers et dont l’eau est si pure, de l’absence de clôture qui permet à chacun d’aller aussi loin qu’il le veut. Mais cette liberté n’est pas sans danger et Eugène n’oublie pas de les mettre en garde car, là-haut, il y a le loup ! Le loup est discret et rapide. Il a de grands yeux qui lui permettent de voir dans le noir et de grandes dents pour croquer ses proies. Et surtout, le loup attaque la nuit pendant que le troupeau dort. Les agneaux ont tous très peur, tous sauf Hubert qui s’écrie Moi, je n’ai pas peur du loup ! Je le mangerai à mon petit-déjeuner ! ». Ni les agneaux, ni le vieil Eugène ne peuvent croire ce qu’ils viennent d’entendre un mouton qui mangerait un loup, c’est n’importe quoi, cela n’existe pas ! Mais rien à faire, Hubert ne veut pas reconnaître qu’il s’est trompé et qu’il est très dangereux pour un mouton d’essayer d’attraper un loup alors, de là à le manger… Les jours passent et c’est le matin de la transhumance. Hubert n’a toujours pas changé d’idée et continue à affirmer qu’il mangera un loup au petit-déjeuner. Il a quand même fait part de ses doutes à son papa et à sa maman qui lui ont dit qu’il avait voulu faire le fanfaron devant les copains et que c’était à lui de trouver une solution pour se sortir de cette situation. Eux n’en parleront à personne mais en attendant, Hubert ne sait toujours pas quoi faire il n’a même pas envie de manger un loup, ça doit être dégoutant avec tous ces poils et en plus ça sent certainement super mauvais, beurk ! Alors Hubert continue à faire le fanfaron devant ses copains. Cela lui gâche même le plaisir de la transhumance. Mais, arrivé en montagne dans les pâturages, il est tellement heureux qu’il en oublie cette histoire de loup. Il profite à fond de cette liberté qui lui est offerte et passe son temps à jouer et à courir. Mais un matin, voilà le berger qui arrive accompagné des chiens qu’Hubert connaît déjà et d’un nouveau vraiment très costaud. Les moutons sont à nouveau regroupés pour être comptés et les plus anciens pensent tout de suite au loup ! Fort heureusement, le troupeau est au complet mais les nuits en liberté sont finies. Rassemblement obligatoire dès la fin de la journée pour dormir. Hubert n’est pas très rassuré et c’est le moment que choisit un autre agneau pour lui rappeler ce qu’il a prévu de manger au petit-déjeuner un loup ! Là c’est panique à bord pour Hubert… si le berger amène un aussi gros chien pour les protéger du loup, comment lui, un petit agneau, pourrait-il attraper un loup et le tuer ? Le vieil Eugène a été témoin de toute la scène et s’approche d’Hubert pour lui parler Tu sais, Hubert, tu n’es pas obligé de manger un loup au petit-déjeuner mais il va te falloir beaucoup de courage pour le dire aux autres. Si tu veux, je t’accompagne. » Hubert comprend qu’il n’a plus le choix et annonce à ses copains qu’il ne veut plus manger de loup au petit-déjeuner C’est trop gros, plein de poils, plein de dents et puis je préfère manger des fleurs ! » Ses copains ne sont pas étonnés. Eux non plus n’ont aucune envie de voir un loup d’aussi prêt. Alors qu’Hubert commence à se sentir soulagé, l’agneau qui lui avait rappelé sa promesse prend la parole Et bien puisqu’Hubert n’est pas assez courageux pour manger un loup au petit déjeuner, moi, je vais le faire ! Je ne suis pas un peureux, moi ! » Hubert s’apprête à rétorquer que puisque c’est comme ça, lui va croquer un ours, quand soudain, il éclate de rire et part en courant avec ses copains jouer dans le ruisseau. Le vieil Eugène a tout vu et il sait maintenant qu’Hubert a bien grandi et qu’il a un autre petit agneau fanfaron à aider… Mais ça, c’est une autre histoire…. by May 9, 2019 Histoires à partager
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  • mange et bois car le chemin est long